Che puro ciel : the rise of classical opera / Bejun Mehta, contre-ténor
Musique audio
Edité par Harmonia Mundi - 2013
C'est dans la fameuse préface de l'Alceste (1767) que le "chevalier Gluck" et son librettiste Calzabigi posèrent les bases de l'opéra à venir. Il s'agissait alors de s'échapper des carcans formels hérités du Baroque pour retrouver le sens profond du mot Nature - en d'autres mots, "libérer le langage du coeur"" ! Gluck, Traetta et quelques autres menèrent un véritable combat pour expérimenter un nouveau genre de drame lyrique dont sont issues les arias réunies sur ce disque. Elles participent de cette "noble simplicité" qui guidait leurs auteurs et allait poser sa pierre à la fondation du style classique.
Che puro ciel ! (Orfeo ed Euridice) / Gluck. Vieni a' regni del riposo (Orfeo ed Euridice) / Gluck. Perché tacer degg'io ? (Ascanio in Alba) / Mozart. Cara, lontano ancora (Ascanio in Alba) / Mozart. Ah, se lo vedi piangere (Antigona) / Traetta. Dei di Roma, ah perdonate (Il trionfo di Clelia) / Hasse. No, che non ha la sorte (Artaserse) / Bach J.C.. Vo solcando un mar crudele (Artaserse) / Bach J.C.. Dormi Oreste ! (Ifigenia in Tauride) / Traetta. Pensa a serbarmi, o cara (Ezio) / Gluck. Ah di si nobil alma (Ascanio in Alba) / Mozart. Ah, si, da te dipende (Antigona) / Traetta. Se il fulmine sospendi (Ezio) / Gluck. Vadasi (Mitridate) / Mozart. Gia dagli occhi il velo è tolto (Mitridate) / Mozart.
